Le cacao est la poudre obtenue après torréfaction et broyage des fèves de cacao fermentées. Les fèves sont contenues dans les cabosses qui sont les fruits du cacaoyer ou cacaotier (Theobroma cacao). Cet arbre est une espèce tropicale domestiquée par l’Homme il y a environ 3 000 ans.
Fig. 1 : le cacaoyer ou cacaotier Espèce tropicale qui pousse à basse altitude, (entre 200 et 400 m), dans les forêts pluviales à l’ombre de la canopée formée par la végétation plus haute. Il mesure de 10 à 15 mètres de haut et a des feuilles persistantes.
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Fig. 2. La cabosse : Grosse baie allongée pesant jusqu’à 400 g . Elles poussent sur le tronc et les grosses branches de l’arbre tropical. Elles mesurent de 15 à 20 cm de long et de 10 à 15 cm de large. Elles contiennent entre 30 et 40 graines ou fèves chacune. Les graines sont entourées de mucilage. En moyenne un cacaoyer donne environ 150 cabosses par an, ce qui donne près de 6 kg de cacao
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Selon l’hypothèse généralement admise, le berceau naturel du cacaoyer se situerait dans les forêts tropicales de l’Amérique du Sud, plus précisément dans la région du Haut-Orénoque (Venezuela, Colombie) et du bassin amazonien.
Le mot cacao dérive de la langue amérindienne nahuatl « cacahuatl ». Il était traditionnellement utilisé par les civilisations précolombiennes du Mexique et d’Amérique Centrale, notamment les Olmèques, les Mayas et les Aztèques.
Chez les Mayas, le cacaotier était considéré comme un arbre sacré et était utilisé pour la préparation d’un breuvage rituel pour entrer en communication avec les Dieux et était réservé aux nobles. Cette boisson portait le nom de chacau ha. Pour la réalisation de cette préparation, le cacao était d’abord réduit en poudre, puis dilué dans l’eau à laquelle était ajouté du piment et était battu énergiquement pour former une mousse épaisse à sa surface.
Les Mayas utilisaient également le beurre de cacao à des fins thérapeutiques pour soigner les gerçures, les brûlures ou encore le foie ou les poumons.
Chez les Aztèques, la boisson obtenue à partir des fèves de cacao fut baptisée xocoatl –xoco signifiant « bruit » et atl, « l’eau », référence directe au bruit du fouet utilisé pour dissoudre et faire mousser le cacao dans l’eau. Cependant, pour les spécialistes, cette explication semble un peu fantaisiste. De plus, comme chez les Mayas, la fève servait également de monnaie dans les échanges.
Le cacao fut introduit en Europe au XVI° siècle par les conquistadors et les missionnaires. En effet, la première rencontre des Européens avec le cacao eut lieu en 1502, par le truchement des Espagnols, au retour du quatrième voyage de C. Colomb. Mais les Espagnols ne fixèrent leur attention sur la fève qu’à partir de la conquête du Mexique par Hernan Cortès, soit dix ans plus tard en 1519. Cependant, la préparation au cacao réalisée par les populations autochtones, était une boisson tiède et amère qui fut revisitée par les Européens. Si son adoption connut un immense succès au sein de l’élite coloniale, c’est parce que les Espagnols transformèrent la recette pour l’adapter à leur goût en y rajoutant du sucre, en remplaçant le piment par des épices comme la cannelle, et l’eau par du lait et se mirent à la boire chaude.
Les Espagnols introduisirent les premiers le cacao sur les marchés européens mais dès la fin du XVII° siècle d’autres nations européennes furent à l’affût de territoires favorables à la culture du cacao, toujours dans les Caraïbes et en Amérique du Sud : Curaçao (Pays-Bas), Jamaïque (Grande-Bretagne), Martinique et Ste Lucie, République Dominicaine, Guyane, Grenade (France), Brésil (Portugal).
Quelle fut l’évolution de la production du cacao brésilien depuis la colonisation portugaise au XVI° siècle jusqu’à à nos jours ?
I. La colonisation du Brésil par les Européens
- 1. L’époque des Grandes Découvertes
- a. Contexte des Grandes Découvertes
Au XV° siècle, mus par différents mobiles, les Européens explorèrent et conquirent de nouveaux territoires hors d’Europe.
La découverte de nouveaux horizons fut possible d’une part par les avancées techniques dans le domaine de la navigation grâce au perfectionnement de la construction navale. Désormais, les navires sont plus rapides, plus longs et plus manœuvrables (la caraque et la caravelle) ; l’utilisation d’instruments de navigation empruntés au monde arabe qui permirent de mieux s’orienter à la surface des océans (boussole, astrolabe, horloge à eau); les portulans, cartes des routes maritimes, qui portent, grâce aux découvertes, les caps à suivre et l’indication des distances.
D’autre part, les mobiles furent également d’ordre économique, puisque les Européens étaient à la recherche de certaines ressources rares et chères comme les métaux précieux. Du fait de la diminution de la production des mines d’or et d’argent européennes, l’Europe manquait alors de numéraires ce qui entravait le développement du grand commerce. De plus, la demande de sucre augmentait en Europe d’où la nécessité de trouver de nouvelles terres sous un climat approprié pour cultiver la canne à sucre. Enfin, pour s’affranchir du monopole des Vénitiens et des musulmans qui contrôlaient le commerce des épices avec l’Asie et l’Orient, les commerçants européens décidèrent d’aller chercher les épices à la source sans passer par ces intermédiaires et durent donc trouver de nouvelles routes maritimes.
- b. Les rois du Portugal pionniers des entreprises de découverte de la planète
La reconnaissance de la planète débuta sous l’impulsion des rois Portugais dès la fin du XIV°. Sous le règne d’Henri le Navigateur (1394-1460), les Portugais furent les premiers à explorer les côtes de l’Afrique dans l’Atlantique, au Sud du Maroc. En 1471, ils franchirent l’Equateur, puis en 1487 ils atteignirent le cap de Bonne Espérance.
Ensuite l’entreprise de découverte se poursuivit dans l’Océan Indien et, en 1497, les souverains Portugais envoyèrent Vasco de Gama à la recherche d’une route maritime menant en Inde. Il partit de Lisbonne en juillet 1497, contourna l’Afrique, traversa l’Océan Indien et toucha l’Inde en mars 1498, soit 8 mois plus tard. Les commerçants suivirent de près les explorateurs. Ils établirent des comptoirs. Le commerce portait sur l’or, l’ivoire, les esclaves et la malaguette.
Enfin, c’est en 1500 que Cabral atteignit le Brésil.
- 1. c. De la conquête du Brésil par les Européens à l’indépendance du pays (1530-1822)
L’entreprise de colonisation portugaise ne débuta réellement que dans les années 1530, sous le règne de Jean III.
En 1532 fut fondé le premier village São Vicente.
En 1533, le Brésil fut divisé en quinze capitaineries, chacune dirigée par un donatário héréditaire.
Mais à partir de la moitié du XVI° siècle, les Portugais entrèrent en lutte contre les royaumes de France et des Pays-Bas pour l’accaparement du territoire et l’exploitation des ressources du sol brésilien.
En 1555, Nicolas Durand de Villegagnon, un explorateur français, fut chargé par le roi de France Henri II d’organiser une expédition militaire en vue de fonder une puissante base militaire et navale, depuis laquelle la Couronne française pourrait tenter de contrôler le commerce avec les Indes Occidentales. Les Français s’installèrent dans la baie de Rio de Janeiro, de 1555 à 1567. Mais cette occupation française du Brésil ne fut qu’éphémère et fut finalement éliminée par l’arrivée de renforts portugais. En réponse aux autres tentatives françaises de conquête près de São Luís (Maranhão) entre 1612 et 1615, la Couronne portugaise décida d’intensifier la colonisation du Brésil et de mieux structurer l’administration et l’exploitation du territoire.
Puis, en 1630, les Portugais se trouvèrent aux prises avec les Néerlandais de la compagnie néerlandaise des Indes occidentales (West-Indische Compagnie ou WIC) qui leur enlèva les villes de Recife, Natal et Salvador afin de s’assurer une partie de la production sucrière. Recife devient la capitale de la colonie néerlandaise sous le nom de Mauritsstaad. Les populations locales se révoltèrent (Insurreição Pernambucana ou «Insurrection de Pernambouc») contre leur présence, à la faveur de la Première Guerre anglo-néerlandaise (1652-1654) et à l’issue de celle-ci le Portugal récupéra ces territoires.
L’arrivée au pouvoir de Napoléon Bonaparte en France conduisit à l’indépendance du Brésil car durant son règne les différents royaumes européens furent envahis par les troupes françaises. Le Portugal se trouva entrainé dans les guerres napoléoniennes car ce dernier refusa d’appliquer le blocus continental. En 1807, l’armée française envahit le pays. À l’annonce de cette invasion, le régent du Portugal Jean VI s’embarqua pour le Brésil pour s’installer à Rio. En 1821, ce dernier décida de rentrer au Portugal en laissant son fils Pierre Ier du Brésil (Dom Pedro). Les Cortes cependant voulurent ramener le Brésil au rang de simple colonie et rappelèrent Dom Pedro au Portugal. Soutenu par la population brésilienne, celui-ci refusa de retourner en Europe, proclama l’indépendance du Brésil, et en fut déclaré empereur en 1822. Mais ce n’est qu’en 1825 que le Portugal reconnut l’indépendance brésilienne.
II. HISTOIRE DU CACAO AU BRESIL
- 1. La période de la colonisation portugaise : essor du cacao amazonien dans l’actuel Etat de Parà au Nord
En Europe, même si le cacao n’était encore qu’un produit exotique de luxe, fragile, coûteux à cultiver à transporter et surtout transformer, la demande ne cessa d’augmenter au XVII° siècle. Cependant, ce sont les Espagnols qui détenaient le monopole de ce commerce.
Aussi, lorsque en 1641, le voyageur jésuite espagnol Cristobal de Acuna (1597-1675) signala des cacaoyers en Amazonie brésilienne, région encore peu mise en valeur par les colons portugais hormis la zone littorale où fut fondé en 1616 le port fluvial de Bélern do Pará, le roi du Portugal compris l’intérêt économique de cette découverte. En effet, d’une part, le commerce du cacao était un marché juteux en Europe et était donc un moyen de faire rentrer du numéraire dans les caisses du royaume du Portugal mais aussi un moyen d’ôter le monopole de ce commerce aux Espagnols. D’autre part, c’était également une solution pour mettre en valeur ce territoire resté quasiment vierge.
Par conséquent, dès 1679, la monarchie portugaise encouragea les colons de Bélern do Parà, à se lancer dans la culture du cacao tant convoité. Mais au départ, la production resta très médiocre à cause de différents facteurs. Outre le fait que les plantations n’étaient pas nombreuses, les colons ne s’intéressèrent que très peu à cette culture qui se faisait sous un climat pénible et qui nécessitait une main-d’œuvre importante, l’obstacle principal était celui de l’absence de débouchés sur le marché portugais car la demande intérieure était faible.
Puis la production de cacao amazonien connut un boom durant la première moitié du XVIII° siècle. Les Portugais exportèrent vers les marchés d’Italie, de la Hollande et de l’Angleterre. Par conséquent, la production de fèves passa de 300 tonnes en 1730 à 1 300 tonnes en 1745. Cependant, en 1746, une violente épidémie de variole décima la population autochtone qui travaillait dans les plantations ce qui entraina une interruption des exportations jusqu’en 1749. Même si à cette date les exportations reprirent, il fallut attendre l’établissement d’un monopole commercial au profit de la Companhia Geral do Grão Pará e Maranhão, créée en 1755, pour constater une augmentation de la production de fèves qui n’égala cependant pas les quantités produites lors de la période antérieure puisque entre 1756-1778, la production se maintint autour d’une moyenne annuelle de 1 000 tonnes.
A partir de 1778, la production connut un nouvel essor. Premièrement grâce à une période de libre commerce sur les marchés européens pour le cacao brésilien, puis deuxièmement par l’arrivée massive d’une main-d’œuvre esclave africaine. Aussi, les exportations annuelles passèrent de 1 100 tonnes en 1780 à près de 2 000 tonnes en 1800.
Jusqu’au dernier quart du XIX° siècle, la production de cacao resta concentrée dans la région amazonienne et, entre 1800 et 1870, les exportations connurent un essor très modeste malgré l’arrivée d’esclaves africains. Il fallut attendre 1870 pour atteindre 4 000 tonnes. Mais dans le dernier quart du XIXe siècle, une nouvelle source de richesse fut mise en valeur dans le bassin amazonien : la sève d’hévéa qui permettait la fabrication du caoutchouc utilisé dans l’industrie. Aussi, le succès de l‘hévéa entraina l’abandon de la culture du cacao dans cette région.
- 2. La période industrielle : introduction et essor du cacao dans l’actuel l’Etat de Bahia dans le Nordeste
Le Brésil resta malgré tout un grand producteur de cacao grâce à l’introduction et au développement du cacaoyer dans l’Etat de Bahia dans l’actuel municipe d’Ilhéus au Nordeste.
L’introduction de la culture du cacao fut donc un facteur majeur de la mise en valeur, du peuplement et de l’enrichissement du Sud de l’Etat actuel de Bahia. La zone dans laquelle se développa la production de cacao s’étendait du Nord au Sud depuis le rio Jequirica jusqu’au au rio Mucury et d’Est en Ouest depuis le littoral jusqu’à environ 120 voire 150 km à l’intérieur des terres.
Vers 1820, une centaine de colons allemands et suisses s’installèrent sur la rive gauche du rio Cachoeira pour y cultiver le cacaotier. En 1865, les exportations de fèves dépassaient 800 tonnes, mais le manque de main-d’œuvre entravait l’augmentation de la production. Cependant, à partir de 1870, les sècheresses du Nordeste entrainèrent l’arrivée de migrants dans le Sud de Bahia, puis l’abolition de l’esclavage de 1888 dans les zones sucrières du Recôncavo bahianais, favorisèrent les défrichements et l’expansion de la culture cacaoyère.
La culture du cacao nécessitait que peu d’investissement et les premières exploitations s’étendaient sur de petites parcelles défrichées et cultivées par de petits agriculteurs. Ces derniers n’ayant pas les capitaux nécessaires pour la commercialisation des fèves, le négoce du cacao était quant à lui aux mains de sociétés exportatrices prospères d’origine étrangère, comme la maison Wild Berger et Compagnie, fondée à Bahia en 1829 par les frères Jetzler, des Suisses.
Profitant de l’expansion de la demande aux États-Unis, en Allemagne, en Angleterre, aux Pays-Bas et en France, le Brésil devient le second exportateur mondial en 1900 et exportait jusqu’à 17 000 tonnes de cacao.
Après la Première Guerre mondiale, le cours du cacao explosa sur les marchés mondiaux ce qui entraina l’enrichissement des petits planteurs. Ces derniers ne surent pas gérer cet afflux d’argent car au lieu de le réinvestir pour moderniser leurs exploitations, beaucoup le dilapidèrent, s’endettèrent et furent condamnés à vendre à perte leurs terres. Les nouveaux propriétaires, qui n’étaient pas d’origine terrienne et qui résidaient en ville, constituèrent de grandes plantations : les fazendas. Ils ne géraient pas directement leurs exploitations puisqu’ils les faisaient administrer par un tiers – l’empreiteiro – qui percevait une commission sur chaque sac de cacao livré à la fin de la récolte.
Ainsi entre 1914 et 1929, grâce à la création des fazendas, l’exportation de fèves explosa passant de 50 000 tonnes à plus de 90 000 tonnes en 1929. Le cacao devint, après le café, le plus gros générateur de devises pour le pays.
Cette explosion de la production ne sera freinée ni par la Grande crise économique internationale qui éclatera après le krach boursier de Wall Street d’octobre 1929 ni par le coup d’Etat militaire au Brésil d’octobre 1930. En effet, afin de limiter la débâcle financière des planteurs, le gouvernement de l’Etat et le gouvernement fédéral créèrent et financèrent en 1931 une coopérative autonome : l’Instituto de Cacau da Bahia (Institut du cacao de Bahia) L’Institut prêtait de l’argent aux producteurs et en contrepartie, ces derniers s’engageaient à lui vendre la moitié de leur récolte au prix du marché, afin d’éliminer les intermédiaires commerciaux et permettre de contrôler la spéculation et stabiliser les cours. De plus, l’Institut créa un laboratoire de recherches sur le cacao. Aussi, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, le Brésil exportait près de 126 000 tonnes de cacao.
- 3. Déclin de la place du Brésil depuis 1945
Après la Seconde Guerre mondiale, les exportations de cacao connurent une stagnation, maintenant la production annuelle à environ 150 000 tonnes. Cela fut le résultat du vieillissement des arbres, car le cacaoyer fleurit à partir de 3 ans et donne fleurs, fruits et feuilles tout au long de l’année. Il atteint son plein rendement 6 à 7 ans après plantation et vit jusqu’à 40 ans, mais au-delà, les fèves contenues dans les cabosses sont moins nombreuses et de moindre qualité. La maturation des fruits dure de 5 à 7 mois. En moyenne un arbre donne environ 150 cabosses par an, ce qui donne près de 6 kg de cacao. Or, en 1966, 60% de la superficie était occupée par les des arbres de plus de 40 ans.
Il faut attendre 1975, pour voir à nouveau la production décoller comme le montre le tableau ci-dessous :
Années | Production en tonnes |
1970-1971 | 168 000 |
Fin des années 70 | 294 000 |
1983-1984 | 403 000 (niveau record) |
Cette croissance de la production est multifactorielle : mise en place par le gouvernement fédéral d’un plan de relance de l’activité cacaoyère qui créa une Commission Exécutive : la CEPLAC (Comissão Executiva do Plano da Lavoura Cacaucira) ; arrachage des vieux cacaoyers qui furent remplacés par de jeunes arbres ; création de nouvelles plantations après défrichement de forêts au Sud du rio Canavieiras. Par conséquent, en 1984, le niveau record de production fut atteint, ce qui plaçait encore le Brésil au second rang mondial pour la production de cacao.
À partir de 1985, le cycle de cacao brésilien est entré dans une phase de récession. La production est passée de 385 000 tonnes en 1985-1986 à 352 000 tonnes en 1989-1990. Cette baisse régulière fut causée d’abord par deux années de sécheresse, ensuite par la « maladie du balai de sorcière » provoquée par un champignon, enfin d’une diminution des soins accordés aux vergers. A partir de 2000, la production chuta de façon spectaculaire pour se situer aux alentours de 160 000 tonnes par an et à partir de 2002, le Brésil devint un pays importateur de cacao pour satisfaire sa demande intérieure. En 2006, la FAO évaluait la production de cacao Brésilien à 199 412 tonnes, ce qui ne représentait plus que 4,1% de la production mondiale, date à laquelle le Brésil n’occupait plus que le sixième rang mondial.
S’agit-il d’une crise conjoncturelle ou d’une récession durable face à la concurrence des cacaos africain et asiatique?
SOURCES :
- Bibliographie :
Le XVI° siècle ; M. Peronnet ; éditions Hachette supérieur ; Paris ; 1992
Histoire du chocolat ; Nikita Harwich ; éditions Desjonquières ; Paris ; 2008.
- Sitographie :
www.lexpress.fr/styles/saveurs/le-cacao-du-bresil ; Par Axel Gyldèn publié le 20/07/2006)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cacao
http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_culture_du_cacao
http://fr.wikipedia.org/wiki/Brésil
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