Cette rubrique, « Éclats de Dires 2014 » prolonge les « Éclats de Dires » publiés pendant l’année 2013. Elle continue d’accueillir de petites infos ou constructions culturelles mises en place par les Lecteurs et visiteurs de tous âges de ce site.
Elles peuvent concerner une nouvelle de l’actualité qui les ait frappés, en France et/ou au Brésil, une phrase d’un livre qui les ait émus ou fait réfléchir, une astuce de cuisine qu’ils aient trouvé géniale, une exposition à voir absolument, un film qui les ait intéressés, une pièce de théâtre, une musique, un paysage, une étoile,…
Des « Dires », donc, qui, généreusement partagés en mots ou en couleurs, puissent contribuer à la diffusion éclatante de la culture…
Chacun sera signé par son auteur.
Margaux, 8 ans
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30 décembre
Pour commencer de façon originale l’année à venir
Exposition de Stello Bonhomme
- Vernissage le 7 janvier 2015 à 18h
Plus d’informations sur ce peintre talentueux
https://www.behance.net/Docteur_Noir
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Réveillon des Musiciens
- 18 Janvier 2015, à partir de 18h
L’association Nice Art International en partenariat avec La Maioun Do Be-Bop et le Jazz Comédie Club présente la 7ème édition publique du « Réveillon des Musiciens ».
Ils travaillent le 31 décembre, cette soirée est une « séance de rattrapage »,
la mise en œuvre de leur « Droit à la Fête ».
Il s’agit tout d’abord d’un prétexte aux retrouvailles de la grande famille du jazz local. JAZZ au sens large du terme, celui qui englobe les musiques dans lesquelles les rythmes sont au cœur de la pulsation et les harmonies riches : brésilienne, soul, funk, r’n blues, afro, etc… Une soirée ouverte au public qui pourra se mêler à l’ambiance des musiciens « entre eux », une énergie à la fois harmonieuse et drôle, tout cela agrémenté de victuailles et breuvages de qualité…
La soirée débute traditionnellement avec les musiciens brésiliens de Rio au Nordeste ! Authenticité, chaleur et rythme garantis ! On commence à 18 heures pour ceux qui travaillent le lundi matin, ils pourront ainsi terminer leur weekend en beauté et en harmonie.
Ensuite, soul et jazz ad lib.
Une programmation musicale surprise avec une garantie de qualité… que connaissent bien ceux qui ont fréquenté les soirées de la Maioun du Bebop.
Cette année l’événement se déroulera au New Shapko, 5 montée Rossetti dans la vieille ville de Nice. Tram Cathédrale / Vieille Ville et nombreux parkings à proximité.
Entrée et tutti quanti libre pour les musiciens professionnels
Réservations & Renseignements : 06 67 53 59 17
Billetterie en ligne sur weezevent : https://www.weezevent.com/reveillon-des-musiciens-7eme-edition
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22 décembre
SALUT ! LES ARBRES DE NOËL !
Que vous soyez
SAPIN NOIR
EPICEA ROUGE
CEDRE BLEU
EPINETTE du Canada
NORDMANN aux aiguilles épaisses …..
Que l’on vous admire… enneigés… enguirlandés… floqués…
Arbres de vie, puisque toujours feuillus…
Vous êtes synonyme d’amitié, d’entraide et de joie, en ces jours de fêtes…
Et que pensez-vous de cet étrange sapin d’eau ?
Son extrême esthétique comble bien son manque d’odeur végétale…
BONNES FÊTES !!!!!
Proposé par Malou
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15 décembre
S’agit-il d’un oiseau du Brésil ?
Observez bien avant de lire le texte sous la photo….c’est extraordinaire !
Ceci n’est pas un perroquet. Ce n’est pas non plus un ara rouge, pour être plus précise.
Regardez de plus près… Non, vous ne rêvez pas, il s’agit bien d’une femme couverte de peinture par l’artiste d’origine italienne Johannes Stötter, qui a remporté le titre de Champion du monde de peinture corporelle en 2012. Il faut BIEN regarder
Surprenant, quand on sait que ce n’est pas un perroquet, on ne voit presque plus le perroquet…
Proposé par Claudette Lenfant
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6 novembre
Voyage au Brésil en capsule
Le Brésil se décline cette année dans tous les domaines !
Nespresso vous propose de déguster le grand cru Dulsão do Brasil,
un café qui exprime une douceur soyeuse à l’image des richesses de cette terre.
Un goût nouveau ! Une saveur inspirée par la passion !
Une invitation pour un voyage prestigieux avec Nespresso.
Une imagination incroyable quant au design :
la capsule représente une partie du globe terrestre et des pépites de café gravitent autour !
Vous aussi, envolez-vous !
Proposé par Malou
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31 octobre
Délicieuse et surprenante langue française
Pourquoi dit-on qu’il y a un
Embarras de voitures
quand il y en a trop,
et
Embarras d’ argent
quand il n’ y en a pas assez ?
*
Pourquoi parle-t-on des quatre coins de la Terre,
alors qu’elle est ronde ?
*
Quand un homme se meurt,
on dit qu’il s’éteint;
Quand il est mort,
on l’appelle « feu » ?!
*
Pourquoi appelle-t-on
« coup de grâce »
le coup qui tue ?
*
On remercie un employé
quand on n’est pas content de ses services.
*
Pourquoi dit-on d’un pauvre malheureux, ruiné
et qui n’a même plus un lit dans lequel se coucher, qu’il est dans de beaux draps ?
*
Comment distinguer le locataire du propriétaire
lorsque ces deux personnes vous disent à la fois :
« Je viens de louer un appartement » ?
*
Pourquoi un bruit transpire-t-il avant d’avoir couru?
*
Pourquoi lave-t-on une injure
et
essuie-t-on un affront ?
*
Pourquoi, lorsqu’on veut avoir de l’argent devant soi,
faut-il en mettre de côté ?
*
Pourquoi, lorsque vous ne partagez pas l’avis de quelqu’un,
dit-on que « les avis sont partagés » ?!
*
Et pour en terminer,
réjouissons-nous que ce soient les meilleurs crus
qui donnent les plus fortes cuites !
Proposé par Claudette Lenfant
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30 octobre
Poésie brésilienne sur le site des Nuits de France Culture
Proposé par Jean-Paul Louis-Lambert
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22 octobre
Le Garçon et le monde
Film d’Alê Abreu
Considéré par certains critiques comme le plus beau film d’animation de l’année, « Le Garçon et le monde » vient directement du Brésil et raconte l’histoire d’un enfant qui quitte son village à la recherche de son père.
Il découvre alors l’univers déshumanisé du travail à la chaîne, qui place le spectateur devant quelques graves problèmes du monde moderne.
Le côté sombre du sujet abordé est cependant illustré par des décors colorés et lyriques qui surprennent et ravissent.
Les mots inutiles sont ici remplacés par une superbe bande-son et des dialogues mélodieux et incompréhensibles (du portugais à l’envers).
Alê Abreu, l’auteur de ce bijou, a remporté des prix partout.
A voir absolument par les petits et par les grands…
Séances à Nice au cinéma Mercury (durée 1h19) :
Jeudi 23 octobre à 16h05
Samedi 25 octobre à 15h40
Dimanche 26 octobre à 15h45
Mardi 28 octobre à 15h35
Proposé par Filomena
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5 octobre
Ernest Pignon-Ernest
Des œuvres éphémères et poétiques
Depuis 40 ans, l’artiste niçois parcourt le monde à la recherche de lieux et d’émotions qui font naitre en lui des personnages. Des silhouettes de papier qu’il façonne avant de les coller, la nuit sur les murs. Les réactions qu’elles suscitent, la façon dont elles s’intègrent dans la ville et dans la vie sont photographiées.
A la fin des années 70, le visage de Rimbaud s’affiche sur les murs de Paris. © Sipa
Une Pieta moderne dans les rue de Soweto en 2002. © Ernest Pignon-Ernest / France 3 Limousin
Ernest Pignon-Ernest s’expose jusqu’au 30 novembre à l’espace Rebeyrolle d’Eymoutiers en Haute-Vienne. Une occasion de mieux connaître celui qui se cache derrière ces personnages à la fois poétiques et militants.
www.pignon–ernest.com
http://www.pignon-ernest.com/p/actu.php
http://www.pignon-ernest.com/p/liens.html
Proposé par Gabrielle Laghouati
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27 août
Exposition
« Bains, bulles et beauté »
Musée international de la Parfumerie de Grasse,
14 juin – 30 septembre 2014
Musée international de la PARFUMERIE
MIP
Un musée proposant une approche multi sensorielle et exposant des objets provenant des quatre coins du monde, afin d’appréhender la fabrication des parfums et des arômes, mais aussi l’utilisation des odeurs à des fins religieuses, thérapeutiques ou de séduction.
« Qu’est-ce que la toilette ? Se laver : pourquoi, comment, où, avec quoi ? Autant de questions qui révèlent de pratiques culturelles, rituelles et sociétales. Le bain a une histoire chargée de symboles, différents selon les époques et les religions. Indissociable de l’eau, le bain est un moyen de purification, qu’elle soit physique ou spirituelle.
Le Musée International de la Parfumerie s’attache à illustrer la toilette et le bain, compris ici dans son sens hygiéniste dans la civilisation occidentale, par une approche historique, sociologique et artistique, du retour des ablutions après deux siècles de toilette sèche à la démocratisation de la salle de bain. En tant qu’ambassadeur de la propreté, le savon fera le lien entre les différentes thématiques abordées. L’évolution des produits, des lieux, des mœurs permet de s’interroger sur son quotidien et sur son époque.
[…]
Mêlant approche sociologique et représentation artistique, l’univers du bain est restitué au travers d’objets de toilette en regard d’œuvres picturales, de publicités, de documents historiques. Par des jeux d’associations et de confrontations, les visiteurs sont questionnés sur leurs propres pratiques de toilette. Des dispositifs muséographiques interactifs complètent les collections présentées et permettent d’élargir le discours au cinq sens : vidéos, projections, bornes interactives, points olfactifs et tactiles. »
Plus d’infos sur www.museesdegrasse.com
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29 juin
Leçon de vocabulaire sur les cris des animaux
J’ai retrouvé chez un bouquiniste un livre tout simple, un de ces livres dits régionalistes (passéistes diront certains) qui, dans un
français hors du commun tellement il est précis, imagé, juste… en un
mot poétique…, conte, décrites par un passionné, des « scènes de la vie
en Limousin et en Périgord vert ». Ce passionné, ancien instituteur puis
Député du Val de Marne, c’est Fernand Dupuy, enfant du Pays.
Écoutez-le, ce vieil instit, donnant à ses petits enfants une leçon de
vocabulaire sur les cris des animaux :
« Tu le sais, bien sûr depuis longtemps, le coq chante, cocorico, la
poule caquète, le chien aboie quand le cheval hennit et que beugle le
bœuf et meugle la vache, l’hirondelle gazouille, la colombe roucoule et
le pinson ramage Les moineaux piaillent, le faisan et l’oie criaillent
quand le dindon glousse La grenouille coasse mais le corbeau croasse et
la pie jacasse Et le chat comme le tigre miaule, l’éléphant barrit,
l’âne braie, mais le cerf rait ! Le mouton bêle évidemment et bourdonne
l’abeille. La biche brame quand le loup hurle. Tu sais, bien sûr, tous
ces cris-là mais sais-tu ? Sais-tu ? Que le canard nasille – les
canards nasillardent ! Que le bouc ou la chèvre chevrote Que le hibou
hulule mais que la chouette, elle, chuinte Que le paon braille, que
l’aigle trompète Sais-tu ? Que si la tourterelle roucoule, le ramier
caracoule et que la bécasse croule que la perdrix cacabe, que la
cigogne craquète et que si le corbeau croasse, la corneille corbine et
que le lapin glapit quand le lièvre vagit. Tu sais tout cela ? Bien.
Mais sais-tu, sais-tu ? Que l’alouette grisole, Tu ne le savais pas. Et
peut-être ne sais-tu pas davantage que le pivert picasse C’est
excusable ! Ou que le sanglier grommelle, que le chameau blatère Et que
c’est à cause du chameau que l’on déblatère ! Tu ne sais pas non plus
peut-être que la huppe pupule Et je ne sais pas non plus si on
l’appelle en Limousin la pépue Parce qu’elle pupule ou parce qu’elle
fait son nid avec de la chose qui pue. Qu’importe ! Mais c’est joli :
la huppe pupule ! Et encore sais-tu ? Sais-tu que la souris, la petite
souris grise Devine ! La petite souris grise chicote. Avoue qu’il
serait dommage d’ignorer que la souris chicote et plus dommage encore
de ne pas savoir, de ne pas savoir que le geai, Que le geai cajole ! »
L’ Albine de Fernand Dupuy chez « Fayard »
Proposé par Claudette Lenfant
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20 juin
Exposition
« Henri Matisse : Nice, le rêve des odalisques »
21 juin – 29 septembre 2014
Musée Matisse, Nice
Vernissage : vendredi 20 juin, 19h
Après l’exposition en 2013 « Matisse, la musique à l’œuvre », nouvel éclairage sur le lien de Matisse avec Nice, à travers le thème des odalisques, ensemble d’œuvres connues sous le terme générique de « période niçoise » (1917-1929)
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20 juin
Henry Bauchau, Le boulevard périphérique
Livre bouleversant, qui nous interpelle au plus profond de nous-mêmes, qui nous captive par ses mots justes, par sa beauté intense et sans fioritures. Analyse fascinante et percutante de la condition de l’homme, oscillant sans cesse entre la peur et le dépassement de soi, entre la mort et l’espérance. À lire à tout moment, et en particulier en cette année où nous célébrons le Débarquement…
Paris, 1980. Les événements vécus par le narrateur, ses trajets quotidiens sur le boulevard périphérique, le font plonger dans ses souvenirs de Stéphane et des débuts de la guerre. Cet homme l’avait initié à l’escalade avant d’entrer dans la Résistance et de se faire capturer par un officier nazi…
« Sur le plan du rocher, j’ai eu le sentiment […] d’être son compagnon préféré. Là, il était mon maître. Un maître rigoureux, qui ne m’épargnait pas la difficulté, qui relevait mes fautes. Un maître qui me traitait comme un égal. Ce garçon, peu instruit, qui avait quitté l’école à seize ans, était un maître auprès duquel j’apprenais une technique, une science de la gaieté dans l’effort et l’énergie du plaisir difficile. […] Dans ce monde de mort, qui nous entoure en ce mois de septembre 1942, dans ce petit îlot où nous nous trouvons encore, je ne pense jamais à la mort. Toujours à l’avenir. « Tu penses souvent à la mort, toi, Stéphane ? » Il ne répond pas, il bourre méthodiquement une petite pipe qu’il allume de temps à autre. La pluie s’arrête presque, nous sommes trempés, il m’emmène à travers les prés gorgés d’eau jusqu’au rocher au pied duquel il a caché sous un surplomb nos deux sacs. Il me guide jusqu’à une petite grotte au fond de laquelle, sous quelques pierres, il a entreposé un peu de bois sec. Il allume le feu pendant que je ramasse encore un peu de bois. Quand je reviens, le feu commence à éclairer la grotte, il a mis ma chemise à sécher et lui-même est en train de se dévêtir. Je fais comme lui, nous sommes en slips et, pendant que nos vêtements sèchent, nous mangeons. Il s’est assis sur une bûche, nous partageons la nourriture que nous avons. J’admire la façon lente dont il mâche et savoure ses aliments, quel contraste avec ma façon rapide et nerveuse d’absorber ce que je mange. […] Je suis une sorte d’intellectuel nerveux, au cerveau sans cesse en érection, au désir vite allumé, pris constamment entre des contradictions insolubles dont je me dis parfois, quand je l’ose, qu’elles font ma richesse. Lui, je le sens bien, vit aussi ses contradictions mais pas au niveau des mots. Je ne peux m’empêcher de lui demander : « Tu n’as pas répondu à ma question. Stéphane, tu penses souvent à la mort ? » Il répond simplement « oui », en tirant sur sa petite pipe qui s’est éteinte et qu’il vient de rallumer avec un tison. »
(Paris, Actes Sud, 2008)
Proposé par Filomena
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5 Juin
Nous sommes TOUS concernés… pour ne jamais oublier!
Documentaire-événement
« Sacrifice », TF1, 5 juin, 20h55
en commémoration des
70 ans du Débarquement allié sur les plages de Normandie
« Des opérateurs de l’armée et des reporters de guerre ont filmé les préparatifs du Débarquement, le déferlante des troupes alliées en Normandie, la débandade des villageois bombardés, la riposte allemande et la libération de Paris. Des soldats américains, des SS, le chauffeur féminin d’Eisenhower, des civils français ont jeté leurs tumultes intérieurs sur le papier. De cette matière précieuse, Isabelle Clarke, Daniel Costelle et Frédéric Lumière ont tiré un documentaire foudroyant de réalisme, un voyage halluciné au bout de l’enfer. Déluges de mitraille, vies fauchées, enfants errants. Des choses oubliées, aussi : le doutes d’Eisenhower à l’aube du D-Day, quand les averses engloutissent les plages normandes, la folie, qui rampe parmi les combattants traumatisés par des scènes d’horreur, les fusillés de la dernière heure et le défilé du général de Gaulle sous les balles de snipers allemands ou de collabos alors que Paris fête sa liberté retrouvée. Par-dessus tout cela, les mots de ces hommes et de ces femmes qui ont traversé le brasier, dits par Lambert Wilson et Kristin Scott Thomas. » (L’Express n°3282)
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13 Mai
Yvonete Rigot-Muller dans une interprétation de Massenet
Après notre conversation avec cette grande artiste lyrique brésilienne, écoutons sa très belle voix dans un extrait où elle se fait accompagner au piano par Jacqueline Maunouri et au violoncelle par Philippe Ferret…
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7 Mai
Un chef-d’œuvre brésilien pour l’ONU
« Guerre et paix », chef d’œuvre de Cândido Portinari (1903-1962), considéré comme l’un des principaux peintres brésiliens du XXe siècle, fut offert par le gouvernement brésilien aux Nations Unies, et installé dans le Hall d’entrée de l’Assemblée Générale, au siège de l’ONU, à New York, en 1957.
Pour la première fois en plus d’un demi-siècle « Guerre et Paix » sort de l’ONU et sera présenté au Grand Palais, avant d’être réinstallé définitivement à l’ONU.
Cette œuvre monumentale de Portinari, composée par deux panneaux de 14 mètres de hauteur sur 10 mètres de largeur, est le point culminant de son long travail en faveur de la paix, aussi bien sur le plan artistique que politique. Ce dyptique est accompagné de 40 études préparatoires permettant au public de comprendre la création, entre 1952 et 19546, de l’un des plus grands chefs-d’œuvre de l’art moderne.
Proposé par F. I.
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5 Mai
« Rodrigo Amarante décline la saudade brésilienne en folk onirique. “L’étranger”, c’était lui. Le môme que personne ne connaissait, le nouveau dans le fond de la classe. Jusqu’à l’âge de 19 ans, il n’a jamais habité plus de trois ans dans la même ville. Son père courait derrière une carrière d’entrepreneur commercial de São Paulo à Fortaleza, et le petit Rodrigo fit le tour du Brésil en lui tenant la main. “Nul ne guérit de son enfance”, écrivait le poète, et aujourd’hui sa musique ressemble d’ailleurs à une thérapie.»
http://www.youtube.com/watch?v=YsByVhobXZM
Proposé par Sacha Juncker
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4 Mai
Tête-à-tête : Van Gogh – Artaud
Musée d’Orsay, Paris (VIIe). Jusqu’au 6 juillet.
« Le 24 février 1947 ouvre au musée de l’Orangerie une rétrospective consacrée à Vincent Van Gogh. Le galeriste Pierre Loeb suggère à Antonin Artaud, qui vient de passer quatre années interné à l’asile de Rodez, d’aller la voir. Ce sera un choc. Cette visite lui inspirera un livre tourmenté, Van Gogh, le suicide de la société, dans lequel il dénonce la tyrannie des psychiatres.
Dans l’exposition du musée d’Orsay, les textes d’Artaud, peints sur les murs, viennent faire écho aux tableaux de Van Gogh qu’il commentait sur son ouvrage. Les dessins hallucinés de l’écrivain, portraits et autoportraits, sont accrochés plus loin. Ce n’est donc pas à proprement parler une confrontation qui est proposée au visiteur puisque les œuvres de l’un et de l’autre ne sont pas présentées côte à côte. Il s’agit plutôt d’une rencontre, celle de deux folies, de deux souffrances. L’occasion de revoir quelques-uns des tableaux les plus connus de l’artiste néerlandais, ses autoportraits, des paysages, Le Fauteuil de Gauguin, La Chambre de Van Gogh à Arles… « Une peinture armée de fièvre et de bonne santé », écrivait Artaud » (L’Express n°3278)
Proposé par Filomena
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16 Avril
Bebop No Choro… le retour tant espéré !!!
Bebop No Choro est né à Nice de la rencontre de Fernando ALVES, musicien, compositeur venu de Rio De Janeiro, avec Sébastien CHAUMONT, fameux saxophoniste et véritable Beboper. Il en est résulté la fusion de deux styles musicaux : Bebop et Choro.
Sébastien CHAUMONT et Manu CARRÉ aux saxophones, Bela LORANT au trombone et Philippe GIULI à la trompette exposent et harmonisent les compositions de Fernando, leurs improvisations autour de ces thèmes ne peuvent laisser indifférent.
Alvaro ESDRAS guitare et Pascal BALESTRA au cavaquinho, produisent une harmonie typiquement brésilienne.
Une section rythmique hors-pair composée de Jean-Marc JAFET à la basse, et de trois batteurs chevronnés : Max MIGUEL à la batterie, Jean-Luc DANNA et Fernando ALVES aux percussions vient définitivement enflammer le Bebop No Choro.
Bebop No Choro : « On y a atteint les limites de l’émotion et de la synergie musicale ! Même les non-initiés ont ce soir été secoués par ces dix musiciens de grand talent qui ont produit à Nice une synthèse sonore que peu de grands festivals connaissent.
Brasilazur 22 septembre 2013
http://www.brasilazur.com/2013/09/bebop-no-choro-le-concert-de-la-virtuosite-et-de-lemotion/
Noite Na Maioun http://youtu.be/zAeS5_V59YI
Obrigado Raul http://youtu.be/AOEXelB3uQU
… la « synergie des soufflants » a rejoint la scène, permettant de grandes variations jazzistiques autour des mélodies …
Réservations :
http://www.weezevent.com/bebop-no-choro
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14 Avril
MINAS GERAIS le renouveau !
Le groupe mythique qui a animé la vie musicale niçoise dans la fin des années 70 /début 80 se reforme et donnera son premier concert chez nous !
brésil & jazz interprétée par des virtuoses : Robert PERSI au piano & claviers, Paul ADJAJ, guitare & chant, Jean-Marc JAFET à la basse, Daniel DRAY batterie et Jean-Luc DANNA aux percussions.
Ils ont mené chacun de leur côté une vie professionnelle très animée, en France et à l’étranger, et se sont produits sur les plus grandes scènes de jazz. Aujourd’hui, pour notre plus grand plaisir, Ils interpréteront des thèmes de Milton NASCIMENTO, Chico BUARQUE, DJAVAN, Béto GUEDES et nous ferons découvrir leurs compositions.
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1er Avril
C’est au printemps que, cette année, aura lieu notre Bal de Carnaval Brésilien.
« Connexion Rio-Nice » qui réunit une dizaine de musiciens d’excellence, niçois et brésiliens : Nina PAPA (chant) Manu CARRE (saxophone) BELA LORANT (trombone) Alvaro ESDRAS (guitare) Jean-Marc JAFET (basse) Fernando ALVES (batterie) Leleco DO SALGUEIRO & Marcio De Oliveira (chant, percussions).
Pour nous, ils interpréteront le répertoire d’un véritable bal de carnaval brésilien offrant des rythmes étonnamment riches et variés : marche, frevo, samba, samba-reggae, samba- funk, etc… vous pourrez vous immerger au milieu de nos amis brésiliens qui avent si bien transmettre leur joie et un plaisir de danser absolument irrésistible ! ! !
Vous pourrez venir tranquillement en tramway (arrêt Acropolis).
Si vous venez en voiture, le parking Barla (entrée avant 20 heures) se trouve à 100m du club et vous trouverez sur place de délicieux tapas pour vous restaurer. Ambiance oblige ! La soirée commencera dès 19 heures avec un accueil musical et on pourra s’échauffer pour danser ! L’ouverture du Bal traditionnel se fera à 20 h 30.
Il faut absolument réserver car le nombre de places est limité. L’autre avantage de la réservation est que vous bénéficiez d’un tarif réduit : 13 € au lieu de 15 € à la dernière minute (s’il reste de la place…).
Le lien de billetterie en ligne est sur
http://www.jazz-comedie-club.fr/musique-nice/bal-de-carnaval-bresilien.html
Pour les étudiants, chômeurs et seniors 12 € sur réservation, 14 € dernière minute sur place (sur présentation de la carte)
Vous savez tout, prévenez vos amis !
À bientôt pour la Fête***
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24 Mars
Films brésiliens au Cinéma Mercury
Mercredi 26 Mars, 9h30, 14h, 20h30
Meu pé de laranja-lima – Mon bel oranger
Réalisateur : Marcos Bernstein
2013, durée 1h30
Synopsis :
Au Brésil, Zézé, âgé de presque 8 ans, vit à la campagne dans une famille pauvre. Il est sensible et précoce, aime raconter des histoires. Jamais à court d’idées, il se réfugie souvent sous les branches d’un oranger qu’il prend comme confident : à lui, son oranger, il peut confier ses secrets, ses peurs, ses joies…
Mardi 1er Avril, 14h, 20h30
O Som ao Redor – Les bruits de Recife
Réalisateur : Kleber Mendonça Filho
2012, durée 2h11
Synopsis :
La vie paisible d’un quartier de classe moyenne de Recife est perturbée par l’installation d’une société privée de sécurité. La présence de ces hommes rassure les uns mais accentue paradoxalement l’anxiété des autres, dans une société qui semble craindre tout et n’importe quoi. Pendant ce temps, Bia, épouse et mère de deux enfants, essaie de supporter les aboiements et les hurlements du chien de son voisin. Une réflexion « brésilienne » sur l’Histoire, la violence et le bruit.
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20 Mars
Dans le cadre de l’accueil annuel du partenaire CCFD-Terre Solidaire, le Pôle Solidarité Internationale* porté par la MEDS organise une table ronde autour de :
« L’ Agroécologie et la Souveraineté Alimentaire : des initiatives d’ici et d’ailleurs »
Samedi 22 mars 2014
14h30 – 16h00
à l’espace ESCAPE de la Médiathèque Communautaire de la CASA
Zoom sur le partenaire accueilli :
Maria Gabriela JADILO DOS SANTOS, Coordinatrice des actions auprès des jeunes au sein de l’association Polo da Borborema, partenaire de l’association AS-PTA
AS-PTA – Assistance et services à des projets d’agriculture alternative – est une ONG
issue du Programme de Technologies Alternatives (PTA), qui recherche des alternatives
technologiques adaptées à l’agriculture familiale et services à des projets d’agriculture alternative
Maria Gabriela vient du Brésil où elle travaille, organise et coordonne des actions d’éducation à l’environnement auprès des enfants et adolescents de l‘Etat de Paraíba
Ici, en France, où elle vient pour la première fois, elle souhaite témoigner et partager des expériences avec NOUS & VOUS.
C’est pourquoi, nous vous invitons à :
– Venir la rencontrer et découvrir les actions de l’AS-PTA
– Présenter vos actions et démarche autour de l’agro écologie (eau, semences, accès à la terre, techniques innovantes, formation et commercialisation, sensibilisation…)
& Echanger avec les participants autour de ces thématiques (sujet à concrétiser selon vos interventions/propositions)
Cristina Delgado, Chargée de mission MEDS
Maison de l’Economie et du Développement solidaires
AREP Center – 1, Traverse des Brucs
06560 Valbonne – Sophia Antipolis
Tél et Fax : 04 92 38 94 26
Info transmise à Brasil Azur par Maya Menager
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16 Mars
« Chevaux d’encre », Christine Chamson
Nous avons déjà eu le bonheur d’accueillir cette artiste sur ce site !
C’est bientôt le printemps et l’occasion pour certains de faire une balade sur les bords de Marne !
Un petit détour s’impose alors par le centre équestre Oudinot où Antoine Geslot accueille la nouvelle exposition de Christine Chamson, « Chevaux d’encre ».
Un lieu original où l’art équestre et pictural se mêleront pour un temps… afin de mieux dévoiler encore le talent de cette artiste qui nous est chère !
http://www.behance.net/christine-chamson
Le centre équestre est ouvert
lundi, mercredi, jeudi, et samedi de 9h à 13h00 et de 16h à 20h
mardi et vendredi de 16h à 20h, le dimanche de 9h à 12h.
L’exposition se situe dans le club house, en entrant à gauche dans la cour.
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15 Mars
Celso Fonseca – Liebe Paradiso
Presque seize ans après avoir produit onze morceaux pour l’album « Paradiso » de 1997, Bastos et Fonseca décident de réinterpréter leur album déjà entré dans la légende musicale brésilienne. Développé et enregistré sur une période de trois ans, inspiré par de longs séjours à Berlin et illustré avec des photos, des sons et des vidéos, Liebe Paradiso réunit des stars de la Bossa Nova et de la Musique Populaire Brésilienne (Marcos Valle, Nana Caymmi, Joao Donato, Milton Nascimento, Sandra de Sá, Jaques Morelenbaum) et de plus jeunes héros musicaux comme la chanteuse Adriana Calcanhotto, Donatinho du groupe « Paraphernalia » ou encore Kassin. Un travail de réécriture, d’arrangement et d’interprétation magistral ; chaque morceau semble se fondre dans l’autre, le voyage musical se fait sans halte. Les bossa nova, samba, rock, funk ou jazz sont ici sublimés par une orchestration moderne et par la musique électronique. (FIP)
Proposé par Sacha Juncker
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11 Février
PREMIER BAL pour les moins de 12 ans !
Un BAL COSTUMÉ avec un véritable orchestre brésilien ! Un moment qui restera inoubliable.
Ce bal aura lieu pendant les vacances de Carnaval de 15 à 18 heures mardi 25 février.
Costume indispensable ! Vous aurez droit à une remise de 10 % sur vos costumes et accessoires au Festival 11 rue du Lycée 06000 Nice, allez-y de notre part !
Confetti et bombes non-admis.
Profitez de réductions en réservant au 04 93 14 34 28 ou sur les billetteries en ligne Billetreduc et Moxity.
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24 Janvier
Chez notre ami Antoine Soave, dans sa belle cave à vins Saveurs & Anthocyanes…
… superbe moment immortalisé hier soir avec Olivier Delacroix (Dans les yeux d’Olivier, sur France 2) grâce à l’objectif de Franck Leclerc de Nice-Matin…
Voir Éclats de Dires du 11 juillet 2013…
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11 Janvier
Le Chemin
En avant-première nationale, projection de cette comédie dramatique sélectionnée par le Festival de Sundance et primée au Festival de Rio. Malgré l’existence d’une cinématographie nationale qui s’affirme depuis la fin des années 1990, avec des films célèbres comme La Cité de Dieu en 2001 (dont le réalisateur Fernando Meireilles est co-producteur), les films brésiliens restent rares. Wagner Moura, acteur montant du cinéma brésilien (à l’affiche de Tropa d’Elite – Ours d’Or au Festival de Berlin en 2008), s’est beaucoup impliqué dans le rôle principal. La proposition de ce film est très singulière. Il s’agit à la fois d’un road-movie sur fond de crise familiale, et d’une photographie de la société brésilienne. Le personnage de Théo est un bourgeois vivant dans une banlieue résidentielle de Sao Paulo. Son aventure le confronte à des réalités très différentes qui se côtoient : la pauvreté des favelas, les agriculteurs sans terre et les jeunes de ce pays à la recherche d’un point de fuite.
Synopsis
Théo vit dans une riche banlieue brésilienne. Médecin, mari et père, il donne pourtant la priorité à sa seule carrière. Son univers bascule lorsque sa femme demande le divorce. La maison familiale est sur le point d’être vendue et rien ne semble pouvoir empêcher leur séparation. La fugue soudaine et inexpliquée de son fils va bouleverser cette situation, poussant Théo à se lancer à sa recherche. Au cours de ce long voyage à travers le Brésil, il découvrira ce qui compte réellement pour lui, un retour à l’essentiel qui va changer sa vie…
Vous pouvez visualiser la bande annonce ICI
Proposé par Liliana Lindenberg
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